Micro poésie du vendredi
Couche tes rêves sur ma peau de poèmes… Et laisse-moi glaner tes promesses de bohème. Boire le bonheur sur le bout de tes lèvres. Tes mots autour du cou, réelle oeuvre d’orfèvre…
Couche tes rêves sur ma peau de poèmes… Et laisse-moi glaner tes promesses de bohème. Boire le bonheur sur le bout de tes lèvres. Tes mots autour du cou, réelle oeuvre d’orfèvre…
L’été, C’est se méprendre en fermant les yeux, entre un coup de vent et la course de tes doigts sur ma joue…
M’eus-tu eue, tu ne m’aurais pas voulue. Pas plus que les autres avant toi. Mais j’ai de la chance, cette fois. Jamais tu ne m’auras Donc, toi, tu me voudras pour toujours… Toujours… Enfin!
tu m’as braconné le coeur * Traquée tel un prédateur * Tu m’as mise à genoux Et j’ai les poings liés Devant toi, mon beau loup, mon renard argenté. * Faudra-t-il que j’implore pour qu’un jour tu m’achèves? Que tu me croques à pleines dents et t’abreuves de ma sève… * Et me laisse pour…… Continue reading Micro poésie du vendredi…
Tirée vers les bas fonds du sommeil… Les paupières alourdies par le poids des jours… Je n’ai rien à craindre ce soir… Car, je m’envole vers la sécurité de tes bras.
Tu joues des mots avec l’habileté d’un virtuose… Mais moi, c’est pour tes silences, que je tends l’oreille. Rien ne me fait frémir plus que les hurlements de tes non-dits…
Et quand nos corps se rejoignirent au bout de l’attente et des milles… Nous ne fîmes rien qui put être comparé de près ou de loin à la luxure… Ton amour glissant sur mes reins… me caressant et mordant à pleines dents dans ma vie. Chaque soupir, bu du coin de…… Continue reading Micro poésie du vendredi…
Mes yeux ont mis des années à s’accoutumer à la brillance de tes mots… Quand je les ai entendus de tes lèvres, j’ai cru que tu voulais m’achever!
Je peindrai les parois des plus majestueuses montagnes aux couleurs du soleil, je teindrai les rivières et les lacs de tous les tons de pastels… Et si ça ne suffit pas à faire pleuvoir des étoiles dans tes yeux, je m’éclipserai de ta vie. A pas de loup, comme une souris…
Le bleu d’un ciel plein de promesses, Le blanc de la neige encore fraîche, Dame Nature a bien haut hissé, son plus sublime fleurdelisé