
Le malheur,
comme le froid,
ça n’existe pas.
*
C’est une abscence
un vide, un creux,
un abyss viscéral.
*
Etre malheureux,
c’est remplir une
passoire de sable.
*
Et se demander
où sont passés
nos grains de joie…
*
Mais le malheur,
ça n’existe pas.