Pour lire entre tes lignes Et interpréter les plus fous de tes rêves J’ai simplement fermé les yeux Et posé les doigts sur tes lèvres Helen Keller, moi? Jamais… Mais le frémissement de ta bouche Révèle la sihouette des secrets Ce qui t’émeut, ce qui te touche Je devine, je ressens, je…… Continue reading Micro-poésie du vendredi…
Si j’avais les ailes d’un ange, j’oublierais l’air de la chanson et je décollerais sans façon, vers ce lieu des plus étranges. J’y ferais sans attendre mon nid, comme l’ont toujours fait les cigognes, et je nicherais, sans la moindre vergogne, perchée à cette cheminée à longueur de nuit. Je lisserais mes plumes, et…… Continue reading Micro-poésie du vendredi…
Dans l’oeil du dragon, Elle serre dans son poing une promesse d’amours éternelles. Ivre d’un songe, Où il la lui souffle, les yeux fermés, directement sur les lèvres…
Avec la patience de la lionne qui attend sans hâte son dû Je lécherai la luxure sur ta peau de chasseur Languissant de te voir enfin exposer ton coeur et j’y plongerai les dents, comme dans le fruit défendu *** Inspired by the work of Sarah Doughty, Hunger
Elle espérait le retour de la chaleur, ou était-ce de son homme? L’espace, déjà trop court, de quelques timides matins. Répis, le temps d’accepter l’incontournable arrivée de l’automne Après les derniers soupirs langoureux de l’Été Indien…
Elle gardait le livre de sa vie, jalousement sur sa table de chevet. Feuilletant chaque soir un chapitre, Pour se tricoter le rêve d’un amour parfait….
Aujourd’hui j’aimerais pouvoir découper délicatement ton âme sur le pointillé, et faire de toi deux êtres parfaitement semblables, Pour que ton coeur n’aie plus jamais à souffrir de ne pas être ailleurs…
Et une à une, elle cueillait les étoiles tombées au sol. Collection de voeux encore brûlants, au fond de son panier de rêves anonymes…
Dans la pénombre de la ruelle sur la peau d’albâtre de sa menue main le frisson du baiser, lèvres éternelles valant la promesse d’un lendemain.
Je me fais du cinéma… assise dans le noir, de jour comme de soir, Je profite de la pénombre pour nous mettre en scène. Je me fais du cinéma, la main tendue sur l’acoudoir, espérant voir la tienne y choir J’oublie mes soucis, mes déceptions et mes peines. Je me fais du…… Continue reading Micro-poésie du vendredi…
Cyranny's Cove 